Sophie Dubé
Lorsque j’étais petite, le mois de septembre, qui inaugurait l’automne, était indissociablement lié à la rentrée des classes, sonnant le glas des vacances d’été qui m’avaient pourtant semblé devoir durer éternellement, et annonçant le retour prochain de la pluie et du froid, le raccourcissement accéléré des jours et l’allongement concomitant des nuits, bref… je n’aimais…