Sophie Dubé
Il nous a quittés le jour de la Saint-Roger… Roger était mon professeur de Français lorsque j’avais 14 ans, et il est intimement lié à mon cheminement d’écrivain, depuis mes rêves d’adolescente jusqu’au jour où, à la suite d’un rêve inattendu, j’ai retrouvé sa trace et suis allée lui rendre visite à Lyon, où j’ai…
J’avais un chat qui s’appelait Noël. En fait, c’était une chatte, mais elle ne s’appelait pas Noëlle, elle s’appelait NOËL. Noël comme le 25 décembre. Noël comme cette parenthèse douce et chaleureuse qui illumine le cœur de l’hiver.
«Ô soleil, toi sans qui…. …les choses ne seraient que ce qu’elles sont!» S’il y a un moment dans l’année où cette citation me trotte dans la tête, c’est bien l’automne. Et spécialement l’automne dans ma contrée d’élection, cette riante et verte Normandie.
Jusqu’à tout récemment, et depuis 2015, je n’ai quasiment jamais acheté d’œufs, bien que j’en consomme beaucoup. J’avais des poules. Il m’en reste deux, l’une est en mue(*) et ne pond pas en ce moment, et l’autre est, pourrait-on dire, en fin de vie.
L’automne est devenu très venteux, et quand il ne renverse pas les arbres le vent emporte un tourbillon de feuilles mortes, dans mon jardin comme ailleurs.
L’automne est aussi la saison des poires ! Si la Normandie est connue pour ses pommiers et son cidre, j’avoue que pour ce qui est de les manger en fruits frais j’ai une préférence pour les poires.
On dit que c’est en voyant tomber une pomme qu’Isaac Newton a conçu sa théorie de la gravitation. Sujet tout à fait d’actualité car en cette époque de l’année les pommes tombent dru sous nos pommiers normands.
Dans les contes d’autrefois ils étaient changés en princes et princesses (et vice-versa), aussi ne sait-on jamais, lorsqu’on en voit un qui nous regarde, à qui on a affaire. Depuis quelque temps ils semblent se donner rendez-vous au coin de ma porte d’entrée, et cela me trouble…
Je n’ai jamais autant pensé que depuis que j’ai un chien. Les longues promenades avec Misty, ma chienne Border Collie, me permettent de laisser mes pensées vagabonder en toute liberté et pendant qu’elle divague de-ci de-là, reniflant une piste invisible pour moi, mon esprit divague lui aussi.
Je n’ai pas eu à attendre longtemps pour trouver le sujet de la seconde chronique. Il m’est tombé dessus au réveil, alors que je voulais aller contempler mon joli site internet, et regarder sur le compteur si la petite pub que j’ai faite hier y avait amené des visiteurs. Mais las!, au lieu de mon…